L’hiver approche et vous avez envie de partir à la montagne à bord de votre camping-car. À moins que vous ne préfériez aller faire un tour dans les pays nordiques, voir le père Noël en Laponie, ou plus simplement vous arrêter pour une nuit à la source de la Seine sur le plateau de Langres, un des coins les plus froids de France ? Beaux projets. Mais le profilé, la capucine, le fourgon ou l’intégral est-il équipé pour résister à l’hiver et en particulier au gel ? N’allez-vous pas avoir trop froid ? On vous rassure, pas la peine d’investir dans 10 kg de plaid, même pour les plus frileux. Nos véhicules d’usines sont isolés et le système de chauffage est performant pour être vraiment bien dans l’habitacle. Cependant, quelques précautions sont à prendre pour éviter les avaries dues à une exposition prolongée aux températures négatives. Quelques astuces complémentaires vous permettront de passer un séjour inoubliable sous la neige ou dans la magie des brouillards givrants.
NOTRE EXPÉRIENCE :
Si nous avons opté pour l’achat d’une capucine, c’était pour 2 raisons :
▶ son espace habitable très confortable pour une famille ;
▶ ses rangements nombreux et spacieux qui nous permettaient de partir au ski à 4 sans nous marcher sur les pieds.
Nous nous sommes donc régulièrement rendus à la montagne sans soucis. Les dernières années n’ont toutefois pas été très froides. Nicolas a, quant à lui, fait l’expérience du fourgon aménagé maison par grand froid. Par -15 °C à -20 °C, il y a des congères partout, mais il fait bon dans le camping-car ! Donc, cela reste possible de partir même dans des conditions extrêmes, en prenant quelques précautions. Au-delà de ces températures, la plupart de nos véhicules ne sont toutefois pas adaptés. Renseignez-vous sur la météo en Laponie avant de tenter le périple jusque dans le Grand Nord 😊
Moi qui suis très frileuse et gèle littéralement sur place dès que le mercure descend en dessous des 18 °C (je passe ma vie avec une veste polaire sur le dos, y compris en été), je n’ai jamais eu froid en CC à la montagne. Alors, je crois que vous ne craignez rien !
1- Laisser circuler les eaux grises
Afin que vos tuyaux d’évacuation ne soient pas endommagés par le gel éventuel de vos eaux usées qui stagnent dans le circuit, il faut laisser circuler vos eaux grises. En théorie, un filet suffit. Placez un seau vide sous la sortie de votre vidange et ouvrez légèrement la vanne. Mieux vaut que votre réservoir ne soit pas trop plein… Au petit matin, vous récupérerez peut-être un glaçon d’eau sale dans votre récipient. Attendez qu’il fonde, puis jetez proprement le contenu dans des sanitaires si vous en avez à proximité. Sinon, vous pouvez toujours le remettre dans votre réservoir d’eaux usées via la douche ou l’évier pour ne pas polluer votre environnement.
Une astuce à appliquer en cas de risque de gelée nocturne. En journée, le simple fait de garer votre camping-car sous le soleil, même par grand froid, devrait éviter cette menace de vos installations.
2- Se garer au soleil
Si vous cherchez l’ombre en été, votre comportement sera inverse en hiver. Trouvez la meilleure exposition au soleil et ouvrez tous vos rideaux occultants, même celui qui est sur votre pare-brise. L’intérêt est multiple :
- économies de chauffage de l’habitacle et donc de gaz (ou de gasoil) ;
- fonctionnement optimal du panneau solaire pour recharger vos batteries ;
- moins de risque de gel de la tuyauterie extérieure.
3- Recharger régulièrement les batteries
L’autonomie électrique est importante en hiver et d’autant plus par grand froid. Les lumières sont allumées plus longtemps qu’en été. La chaudière démarre plus souvent et sollicite d’autant plus la réserve électrique. Vous aurez donc besoin de recharger vos batteries très régulièrement. Plusieurs solutions :
- faire confiance aux panneaux solaires, il est mieux dans ce cas d’avoir plusieurs batteries à décharge lente pour la cellule (au moins 200 Ah) ou une batterie lithium (attention, ces batteries ne sont pas interchangeables, vérifiez que votre installation électrique permet l’installation des dernières innovations) ;
- rouler tous les jours ;
- posséder éventuellement un groupe électrogène (s’il vous plait, choisissez le plus silencieux possible 🙏🙏, on ne va pas à la montagne pour entendre tourner un moteur toute la journée ou la nuit…) ;
- se brancher sur une aire ou au caravaneige (voir une liste des structures ouvertes dans les Pyrénées pour aller à la neige en camping-car).
De notre côté, on alterne entre ces 3 solutions avec une journée au camping en milieu de séjour.
4- Détenir au moins 2 bonbonnes de gaz
1 bonbonne de gaz propane de 13 kg tient environ 3 jours par grand froid à la montagne. Il est essentiel d’en avoir au moins une deuxième pleine pour parer à la panne nocturne. Chauffer est nécessaire pour éviter le gel de vos tuyaux, et pour ne pas mourir de froid évidemment…
Pour info, un chauffage à air pulsé de type Truma peut consommer jusqu’à 36 ampères par 24 heures. Pour un chauffage sur Gasoil type Webasto, comptez une consommation électrique d’environ 45 ampères par 24 heures.
5- Installer un tapis de sol
Pour ceux qui ont toujours froid aux pieds, pensez à amener les chaussons bien sûr ! Mais, vous pouvez également isoler le sol avec l’ajout de tapis ou d’une moquette découpée aux dimensions du couloir de circulation, sans oublier le dessous de table.
6- Isoler l’habitacle de la cabine du camping-car par grand froid
Il faut essayer de garder au maximum la chaleur accumulée dans la journée. Dès que le soleil commence à tomber et ne réchauffe plus votre pare-brise, isolez-le alors avec un rideau isotherme. L’Isoplair posé à l’extérieur est le plus performant. Il englobe le pare-brise et les vitres avant.
Lorsque la nuit est tombée et avant que vous ne sentiez le froid arriver par l’avant du véhicule, tirez le rideau qui se situe entre la cabine et la cellule de vie, cela vous fera une protection supplémentaire. Si vous avez des compétences en couture, vous pourriez même songer à confectionner un rideau avec de l’isolant mince.
7- Ventiler pour évacuer l’humidité
La condensation, l’ennemie numéro 1 en CC l’hiver et par temps pluvieux ! Prendre une douche, cuisiner portes et fenêtres fermées ou simplement respirer créent beaucoup d’humidité dans le véhicule. Il faut penser à l’évacuer et donc aérer même s’il fait très froid. Une bonne ventilation est essentielle et vos aérateurs ne suffiront pas en hiver. Ouvrez en journée, lorsqu’il fait soleil. Et s’il neige sans discontinuer, bah… c’est galère.
8- Amener un radiateur électrique d’appoint
Un radiateur électrique soufflant est un accessoire utile si vous optez pour le branchement sur une aire ou au caravaneige. Vous ferez des économies de gaz et vous soulagerez vos batteries car la chaudière se mettra en fonctionnement nettement moins souvent, voire pas du tout.
À la montagne, les caravaneiges disposent de branchements électriques d’au moins 10 A (16A, c’est mieux). En plaine, on rencontre plus fréquemment des aires avec des bornes en 6 A. Sans surprise, tout saute si tout le monde branche son radiateur électrique.
9- Cuisiner des plats préparés
Vous l’avez compris, le défi de l’hiver en camping-car par grand froid est de gérer l’autonomie. Pour limiter votre consommation de gaz, prévoyez des petits plats déjà cuisinés à faire réchauffer. Vous pouvez amener vos propres conserves ou vous ravitailler sur place. Il n’est pas rare de trouver de bons produits locaux tout prêts.
10- Préférer une toilette aux gants à la douche quotidienne
La toilette au gant est nettement moins consommatrice d’eau et génère donc également moins d’eaux usées. Elle est ainsi tout indiquée lorsque vous sortez en hiver car il peut être compliqué de se ravitailler par grand froid. Beaucoup de robinets sont en effet coupés par les municipalités pendant la période hivernale. Il convient d’être économe. Par ailleurs, les eaux usées risquent de geler. Et pour pouvoir utiliser l’astuce n° 1, votre réservoir ne doit pas être trop plein.
11- Isoler les tuyaux situés à l’extérieur du véhicule
Avant de partir, essayez de repérer les circuits de vos eaux claires et usées. Vous serez surpris de certaines installations… Dans notre cas par exemple, le tuyau qui approvisionne notre boiler depuis notre réservoir d’eau claire fait tout le tour de notre camping-car par l’extérieur, en passant derrière le pare-chocs. Autant de superficie qui peut craindre le gel… Dans la mesure du possible, vous pouvez isoler certains d’entre eux avec de la mousse calorifuge que vous aurez pris soin d’arrimer à votre installation.
12- Opter pour un camping-car double-plancher
Les véhicules au double plancher ne sont pas très courants sur le marché et sont aussi plus onéreux. Mais si vous circulez souvent par grand froid, c’est un investissement qui est à étudier. Ces camping-cars disposent de circuits eaux claires et eaux usées protégés du froid et parfois même chauffés. Ainsi, aucun risque de gel.
13- Laisser tourner le chauffage en journée
Ne commettez pas l’erreur de couper le chauffage quand vous partez vous promener. Et ce, même si le soleil tape et qu’il fait chaud à l’intérieur du camping-car. Des nuages peuvent arriver et la température chutera alors drastiquement. Outre le fait que vous aurez froid en rentrant, vous risquez le gel de vos canalisations. Tous les systèmes de chauffage de nos véhicules sont équipés d’un thermostat, utilisez-le ! Nous concernant, on maintient la température entre 12 °C et 15 °C environ, thermostat entre 2 et 3 sur notre vieille capucine.
14- Économiser l’énergie électrique
En hiver, on puise beaucoup sur nos batteries : lumières allumées plus longtemps, déclenchements de la chaudière plus fréquents pour le chauffage, mais aussi pour l’eau chaude. Comment faire durer le plus possible nos réserves électriques ? Voici un ensemble de petites choses à mettre en place :
- remplacer toutes vos ampoules par des LED ;
- éviter de vous servir d’appareils électriques, utilisez d’autres méthodes pour cuisiner ou remplacez-les par l’huile de coude :
- cafetière à l’italienne ;
- râpe, batteur, hachoir manuels à la place du robot ménager ;
- balayette à manche long ou court à la place de l’aspirateur 12 v ;
- privilégier la douche en début de journée. En effet, l’utilisation de la pompe à eau est énergivore. Si vous puisez dans vos réserves électriques le matin, les batteries auront la journée pour se recharger avec les panneaux solaires.
15- Contrôler régulièrement ses batteries
Le contrôle du bon état et du rechargement des batteries est une opération à faire avant le départ, puis régulièrement pendant votre séjour. Aussi bien pour ce qui est de la cellule de vie, que pour le moteur !
De nombreux appareils fonctionnent au gaz, mais on oublie trop souvent qu’il leur faut une impulsion électrique pour démarrer. Et, à chaque fois, cela vient puiser dans vos ressources énergétiques. Lorsqu’il fait 2 °C dans le CC au petit matin, ce n’est pas toujours à cause d’une bonbonne de gaz vide ! C’est peut-être une batterie à plat…
Côté moteur, le froid peut causer quelques désagréments. Qui n’a jamais connu de panne de batterie au moment de démarrer sa voiture un matin d’hiver ? Vous pouvez vous autodépanner en vous branchant sur vos batteries cellule ou demander à un tiers de vous secourir. Vous aurez besoin de câbles de démarrage (ou pinces).
16- Vérifier l’ouverture des bouches de chauffage
Avec la route et les vibrations, les bouches de chauffage ont parfois tendance à se fermer. Vérifiez qu’elles sont bien ouvertes et que la sortie n’est pas obstruée par un objet quelconque notamment dans la soute, ce qui empêcherait l’air pulsé de réchauffer correctement l’habitacle. Chauffer les soutes est important. Nous concernant, cela permet d’apporter un peu de chaleur à notre circuit d’alimentation du boiler qui se situe à l’extérieur, juste derrière le pare-chocs et isole encore mieux notre intérieur du froid. De plus, nous y avons un réservoir d’eau annexe ainsi totalement protégé du gel.
17- Dégager la neige
Si vous essuyez des averses de neige, il est important de dégager régulièrement votre toit. D’abord pour bénéficier du peu d’ensoleillement et faire fonctionner votre panneau solaire, ensuite parce que la neige peut endommager votre toit. Son poids n’est pas négligeable, d’autant plus si elle gèle. Mieux vaut le faire tant qu’elle est souple, avant qu’elle ne devienne glaçon !
De même, dégagez les alentours de votre véhicule régulièrement pour ne pas avoir affaire à des congères au moment de partir. Dans votre soute, une pelle à neige est indispensable.
18- Prévoir des additifs et des fluides grand froid
Pour éviter quelques désagréments du grand froid, prévoyez un flacon d’additif à mettre dans votre réservoir de carburant. Pensez également à utiliser un lave-glace résistant au gel.
19- Partir avec des pneus neige ou des chaînes dans la soute de votre véhicule
On termine par les obligations légales. Vous devez disposer d’un équipement spécifique permettant la conduite sur chaussée enneigée. Il n’y a pas moyen de déroger à la règle. C’est devenu obligatoire dans de nombreux départements français en 2021, et ça l’était déjà dans certains pays européens.
En France, la loi impose de détenir cet équipement sur la période du 1er novembre au 31 mars de chaque année. Elle est en vigueur dans les communes des massifs montagneux (Alpes, Corse, Jura, Massif central, Pyrénées, Vosges), charge aux préfets de déterminer les communes concernées. Vous devez satisfaire à cette obligation même s’il ne neige pas au moment de votre passage.
4 solutions s’offrent à vous pour satisfaire aux normes imposées par la loi Montagne :
- pneus hiver ;
- pneus 4 saisons estampillés 3PMSF (ou M+S jusqu’en 2024) ;
- chaînes métalliques ;
- chaussettes à neige textiles.
À vous de choisir ce qui vous convient le mieux. Vos besoins sont à déterminer en fonction de l’endroit où vous résidez habituellement et des destinations que vous comptez parcourir en hiver.
N’étant pas des montagnards et nos sorties dans le grand froid se limitant en général à 1 semaine par an, nous avons opté pour les chaînes. Comme le triangle et le gilet, elles sont toujours dans le véhicule. Ainsi, pas de crainte si notre itinéraire devait changer et passer par des routes soumises à cette nouvelle réglementation.
Camping-car par grand froid : c’est parti !
Voilà, vous êtes paré pour affronter l’hiver à bord de votre camping-car ! Partez à la montagne, profitez d’un séjour au ski en famille, filez dans des contrées froides du nord de l’Europe ou du cœur de la France, optez pour une visite des marchés de Noël. Dans tous les cas, vous êtes désormais bien préparé pour aller prendre un bon bol d’air en plein hiver.
Une astuce supplémentaire à proposer à nos lecteurs ? D’autres précautions à prendre selon vous ? Ajoutez-les en commentaire pour enrichir cet article !
Ah oui ! On n’a jamais eu besoin de notre côté, mais c’est effectivement une astuce de haute importance ! 😅
Pour la k7 l entrouvrir quand on monte en altitude évite un gros splash à la premiere utilisation arrivés là haut. Même effet que sur les yaourts : l opercule gonfle en altitude et splash sauf que la on parle de la K7…
Bonjour Bleck,
Oui, je confirme ! Le hors-saison, c’est le top !
Heureuse de vous compter parmi les abonnés du blog.
Bonne route à vous aussi 🙂
Bonjour je viens tout juste de m’abonner « chez vous » merci pour ces précisions de bon sens et surtout de bon sens de la route, nous rentrons de trois semaines de route hivernale et je souhaite simplement témoigner du plaisir de pratiquer le CC à contre courant de la masse des autres utilisateurs…
Bonnes routes, Bleck
Bonjour ,oui si petites bulles on peut toujours le mettre en double et le coinçer dans les portieres , si grosses bulles je pense que ce n’est pas utile , l’interet est que ça laisse de la lumiere dans le camping car ,c’est plus gai
Bonjour Jacques,
Oui, je suis d’accord avec vous, je ne voulais absolument pas vous contredire 😊 Ce que je voulais ajouter, c’est que même en enlevant la garniture des portes pour poser un isolant, vous aurez toujours plus de ponts thermiques que sur les autres parois du CC. De plus, la tôle ne peut en général pas être totalement recouverte à cet endroit, or elle conduit le froid. Mais effectivement, il y a toujours la possibilité d’améliorer l’isolation faite en usine.
Bonjour Carine, et merci d’avoir pris le temps de répondre à mon commentaire. Je vous confirme cependant qu’il est bien possible d’isoler les portes, je l’ai également fait sur l’OPEL Movano L3H3 que je commence à aménager.
Courtoisement 🌺
Bonjour,
Oui, super astuce ! Merci à vous.
il y a aussi la solution de mettre sur les portes arrières des petits matelas en mousse de 1 cm prévus pour la rando et qui isole bien du froid avec velcro double face
Bonjour,
Merci à vous pour votre lecture et commentaire ! Bien plus évident pour des camping-caristes expérimentés que pour des novices… Nous sommes nous mêmes tombés en panne de batterie la première fois à la montagne, et nous avons aussi gelé à la maison, en plaine…
un grand merci pour vos conseil;cela parait evident quand on les lis mais i fallait effectivement y penser
cordialement
Bonjour Jacques,
Merci pour votre commentaire. Sur les fourgons effectivement, les portes-arrières et latérales sont les plus mal isolées. On est en contact direct avec la tôle, il n’y a pas de paroi complémentaire où on peut glisser un isolant comme dans le reste du véhicule. C’est donc toujours par là que rentre le froid, même sur les véhicules d’usine qui seraient mieux aménagés… Souvent, les propriétaires de fourgon qui circulent en hiver créent leur propre complément d’isolation avec un isolant mince, au moins contre les portes-arrières.
Bonne journée Jacques !
Bonjour et bravo pour votre investissement pour vos abonnés ! 😉
Je reprendrai juste un détail en début où vous dites » Nos véhicules d’usines sont isolés « , désolé mais un de mes amis qui a acheté un fourgon aménagé ELIOS sentait du froid au niveau des portes arrières proches de son couchage double, une dépose de la garniture de ces portes arrière à fait apparaître une absence totale d’isolant dans ces portes, creux et vide ! Il a donc procédé lui même à l’isolation de ces portes, ainsi que de la porte latérale coulissante, absence totale d’isolant, à plus de 50 000€ le véhicule soi disant « aménagé » c’est un peu lourd à digérer…
Belles escapades à vous
Cordialement
Jacques
Bonjour Michel et Chantal,
Merci à vous ! Nous vous souhaitons également de très bonnes fêtes 🙂
Bonjour à Vous,
Un grand merci👏 pour vos articles très intéressants.
Nous vous souhaitons de Bonnes Fêtes de fin d’année ⛄⛷🎉
Michel et Chantal
Ah oui ? Vous trouvez que la capacité d’isolation est la même ? On n’y avait pas du tout pensé. Merci pour le tuyau.
Bonjour Jean-Claude,
Oui, merci infiniment pour vos précisions. La bonne paire de gants : in-dis-pen-sa-ble ! À garder dans la soute en toute saison finalement. Et le tapis, détail qui compte beaucoup, sinon c’est celui de la cabine qui finit dans la neige 🤣
Bonne fin d’année également.
Ne partez pas trop loin, un article de saison la semaine prochaine aussi 😉
bonjour a vous , article parfait est de saison pour ma part dans le tiret 19 j’ajouterai un pelle une frontale une bonne paire de gant et un morceau d’un metre carre en plastique ou moquette pour poser les genoux lors du montage parfois perilleux des chaines d’ailleurs un entrainement prealable a blanc est aussi fortement conseillé parole de savoyard
je vous souhaite une bonne fin d’annee en vous remerciant de vos articles
On peut remplacer le « « Soplair « « par du papier à bulles d’emballage ça marche bien aussi et c’est translucide