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Les trésors du Yucatan en camping-car

Nous nous éloignons du Golfe du Mexique pour entrer au cœur de la péninsule du Yucatan.

Ce sont 3 semaines intenses dans notre voyage. Un membre de la famille nous rejoint pour 15 jours et partage avec nous notre quotidien de nomades.

Revenir au journal de bord de notre road trip pour voir la globalité du circuit parcouru sur 11 mois ou lire les articles pratiques.

Izamal

Nous faisons une halte dans le village d’Izamal qui présente une belle unité avec ses façades jaunes et blanches.

Le village, et son couvent à l’atrium imposant entouré par 75 arcades, sont construits sur les ruines d’une ancienne cité Maya. Le centre du village renferme donc aussi les vestiges de deux pyramides. On peut encore gravir l’une d’entre-elles pour avoir un point de vue sur la forêt tropicale environnante.

On trouve quelques touristes dans le village mais qui ne permettent pas de faire vivre les infrastructures hôtelières du secteur, désertes. Le centre du village n’est pas très animé non plus par les Mexicains qui ont sûrement trouvé mieux à faire ailleurs. On suppose que la très touristique Cancun a dû capter une bonne partie de l’activité de la péninsule tropicale, dommage.

Valladolid

Valladolid est une ville au centre du Yucatan, souvent délaissée par les touristes dont la masse se retrouve plutôt à Cancun et sur le site archéologique de Chichen Itza. Nous choisissons toutefois d’y faire une étape.

Nous avons passé l’après-midi à arpenter les rues de la ville, à goûter du chocolat vraiment pas terrible (la recette mexicaine étant très éloignée des secrets de préparation français), et à faire le tour d’un cenote situé à deux pas du centre.

Les cenotes sont d’immenses puits d’eau douce naturels qui sont le résultat d’un effondrement du terrain situé au dessus de rivières ou de nappes souterraines. Ils ont constitué des réserves d’eau douce pour la civilisation maya et sont encore parfois utilisés aujourd’hui par les Mexicains. On peut se baigner dans certains d’entre-eux ; le cénote Zaci a un diamètre d’environ 45 mètres et atteint une centaine de mètres de profondeur.

Chichen Itza : splendeur maya

Nous attaquons aujourd’hui les visites des plus beaux sites précolombiens du Yucatan. Au programme du jour, l’un des plus majestueux et des plus courus, Chichen Itza.

Ce merveilleux site qui a connu son apogée entre 750 et 1200 après JC s’étend sur plus de 300 hectares et fait partie depuis 2007 des sept nouvelles merveilles du monde. Heureusement tout le monde est en forme et on commence la visite pas trop tard pour éviter le bain de foule.

Les ruines sont magnifiques et plutôt bien conservées, le cadre est charmant et la balade se passe à merveille.

Tout le monde en aura plein les pattes au bout de trois heures de visite mais aussi plein les yeux. Encore de beaux souvenirs.

Merida, enfin une ville mexicaine dans le Yucatan

Nous reprenons la route vers l’ouest pour visiter la ville de Merida, capitale du Yucatan et grosse agglomération de 800000 habitants.

Nous nous installons dans le jardin d’une auberge de jeunesse très agréable (ne rigolez pas, une auberge de jeunesse accueille aussi des moins jeunes comme nous). Il y a des hamacs au bord d’une mini-piscine, les sanitaires sont nickels et il y a même un billard (même si ce billard a du connaître des jours meilleurs, pour commencer ça suffit).

Nous partons visiter le centre ville dans l’après-midi. Le cœur historique se concentre autour du zocalo, avec quelques vieux édifices datant de la conquête espagnole. On y trouve la cathédrale, le palais du gouverneur et la demeure de Don Montejo, le conquistador à l’origine de la création de la cité.

C’est en errant autour de cette place centrale que l’on retrouve la frénésie et l’ambiance propre à la vie mexicaine.

Les abords du marché sont hauts en couleurs (et en odeurs parfois, surtout près du marché aux poissons). Le pouls de la ville bat ici à plein et on se sent plongé au cœur de la vie des citadins mexicains. Les contrastes du Mexique en plein développement s’y entrechoquent : le vendeur de coque de portables côtoie la marchande de fruits coupés traditionnelle. Le mélange entre modernité et coutumes anciennes se fait très bien et donne une image rafraîchissante du pays.

La balade a donc été riche en émotions et nous sommes heureux de retrouver notre petit havre de paix et de repos pour une nuit bien méritée.

A tout de suite pour une nouvelle étape… riche en couleurs…

Retour à Celestun

Nous filons à nouveau vers l’ouest pour revenir à Celestun où nous avions passé quelques jours la semaine précédente. Nous nous réinstallons au même endroit et espérons pouvoir, cette fois-ci, faire une excursion avec le propriétaire du lieu afin d’aller voir une colonie de flamants roses.

Le temps est au grand beau fixe et nous allons profiter de la plage tous ensemble. Chacun y trouvera une activité qui lui convient et nous passerons une belle après midi tranquille à profiter du temps qui passe.

Le lendemain, réveil aux aurores (enfin presque). A 8 heures, départ pour la lagune avec notre hôte et son tuk-tuk pour essayer d’aller observer des flamants roses.

Pour ceux qui ne connaissent pas ce moyen de transport, il s’agit d’une moto réaménagée permettant de transporter jusqu’à 6 personnes (tout dépend de la taille des personnes) et qui ressemble à une grosse caisse à savon. C’est rustique mais efficace sur les petites routes non asphaltées du parcours qui nous attend.

Nous passons tout d’abord par le port de Celestun où les pêcheurs viennent de rentrer. C’est folklorique à souhait mais on ne peut plus authentique car le touriste ici se fait rare et ce sont les locaux qui s’approvisionnent directement aux bateaux.

Ensuite, malheureusement, il y a l’envers du décor d’un pays en plein développement et qui manque encore cruellement de structures adaptées. Le problème, ici, c’est la gestion des déchets. Nous traversons une énorme décharge à la sortie du port ou l’on stocke puis brûle comme on peut toutes les ordures de la ville.

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Bien évidemment, la nature environnante est la grande perdante de l’histoire avec des tonnes de plastique en tout genre jonchant aussi bien la mangrove que la lagune attenante. C’est bien dommage, car on se situe quand même dans une réserve naturelle « protégée », de quoi, on ne voit pas bien. Et, quand bien même, il n’y aurait pas ce label, il est quand même regrettable de voir ce si beau paysage gâché par le fléau plastique. Fin de la pause écolo, place aux splendeurs de la nature…

Quelques hectomètres plus loin, les flamants sont au rendez-vous et nous éblouissent par leurs couleurs roses éclatantes voir rouges écarlates. Bien que timides au départ, nous finirons par pouvoir les approcher de très près en fin de parcours. Quel spectacle ! Merci mère nature.

À droite, c’est nous cinq en train de mater les flamants sur les piquets de Koh-Lanta. 

Nous finirons la journée à nouveau sur la plage, à profiter d’un salutaire petit air marin pour rafraîchir l’atmosphère qui, cet après midi, est plutôt « caliente ».

Bonne nuit à tous, ou plutôt bon réveil, je finis par ne plus savoir avec le décalage horaire et à bientôt.

PS : désolé pour la quantité d’images de flamants, mais je ne savais plus quoi choisir… merci de votre compréhension.

La ruta Puuc

Après cette pause balnéaire, nous reprenons nos visites culturelles en nous rendant sur la Ruta Puuc.

Ce territoire, à la différence notable du reste de la péninsule, présente un paysage légèrement vallonné et il regorge d’anciennes cités mayas. Nous nous rendons en premier lieu sur le site de Kabah, en plein cœur de la forêt tropicale sèche. On y trouve de merveilleux exemples de style Puuc où les représentations du dieu Chaac sont omniprésentes. Ce dieu de la pluie chez les Mayas avait une importance particulière dans cette région aride où il n’y avait pas de cenotes, ces trous d’eau si caractéristiques du nord du Yucatan. Ici, toute l’eau était récupérée pendant la saison des pluies et stockée dans d’immenses citernes souterraines.

Le site, bien que modeste par sa taille, présente de très beaux édifices bien conservés ou bien restaurés et on y observe de magnifiques exemples de bas reliefs et de statuaires. Un vrai régal pour les yeux et un bon commencement pour notre marathon d’explorateur.

Nous filons le soir même, bivouaquer sur le site d’Uxmal que nous visiterons le lendemain « à la fraîche ». En attendant, on se tape un bel orage tropical en fin de soirée avec éclairs à gogo, tonnerres rugissants et trombes d’eaux. Il fallait bien que ça arrive, même si nous sommes en saison sèche.

Uxmal

Au petit matin, le ciel reste gris mais la pluie a cessé de nous arroser. On se lance à l’attaque de cette cité maya. Dès l’entrée, le spectacle est saisissant avec la superbe pyramide du devin, à la forme elliptique si originale. La suite est tout aussi splendide, des points de vues magnifiques s’ouvrent sur la nature environnante depuis le sommet des monuments, qui sont eux-mêmes majestueux. La matinée passe rapidement à déambuler au milieu de ces ruines et malgré la chaleur qui monte lentement mais sûrement, nous passons un très agréable moment tout au long de cette belle balade.

Bacalar : la lagune aux sept couleurs

Après avoir traversé le sud du Yucatan, nous arrivons à Bacalar et sa fameuse lagune multicolore.

Le temps n’étant pas vraiment avec nous, la saison sèche étant franchement plutôt humide cette année, c’est sous un ciel chargé d’énormes nuages menaçants que nous découvrons ce paysage lacustre. Les contrastes des couleurs sont vraiment saisissants malgré le peu de luminosité.

Nous trouvons refuge pour deux jours dans un « balneario », quasiment les pieds dans l’eau. Nous pourrons ainsi profiter de ce merveilleux environnement et nous baigner à plus soif – enfin plutôt entre chaque averse. Malheureusement, les nuits ne seront pas des plus calmes, le bivouac ayant pour voisin des restaurants et hôtels adeptes des concerts nocturnes pour occidentaux néo-babas qui colonisent cette paisible cité balnéaire. Dommage pour nous et pour notre sommeil. Heureusement, pour compenser, le restaurant au bord de la lagune nous accueillera pour un excellent déjeuner à base de poissons locaux, avec une vue imprenable. Quand l’appétit va, tout va…

Le site archéologique de Coba

Nous quittons les bords de la laguna Bacalar pour rejoindre Coba en pleine jungle.

Au milieu d’une végétation plutôt dense, nous attaquons de bon matin la visite de cette ancienne cité maya. Les ruines y sont moins bien conservées que sur les précédents sites mais elles possèdent pourtant un charme envoûtant, avec leurs bâtiments recouverts de végétaux, qui s’offrent à la vue du visiteur au dernier moment. Le clou du spectacle est la pyramide de Nohoch Mul, haute de près de 42 mètres et qui dégage un panorama à 360° sur la forêt environnante après l’ascension abrupte et vertigineuse de ses 113 marches.

Le site archéologique de Tulum, sur la Riviera maya

L’après midi, changement de décor. Nous voilà au bord de la côte caraïbe, au cœur de la riviera maya et de son tourisme de masse. Finis le calme et l’authenticité mexicaine, bonjour les hordes de touristes en quête de soleil et de plages paradisiaques.

Le site de Tulum est vraiment splendide de part sa situation exceptionnelle au bord d’une mer couleur azur mais la cohue et la chaleur rendent la visite moins agréable. Seuls les iguanes ne semblent souffrir ni de l’un ni de l’autre. Ils en ont vu d’autres.

Paa Mul : le paradis sur terre ?

Après les sites archéologiques, viennent le tour de ce que la quasi-totalité des touristes internationaux recherchent : les plages paradisiaques de la Riviera maya.

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Le défi est de trouver un endroit où stationner, certes, mais surtout où rester pour quelques jours sur cette côte mondialement connue et très prisée. Tout le littoral est privatisé par des hôtels de luxe et autres parcs d’attractions aquatiques, vastes espaces ceinturés par de hautes clôtures surmontées de fils barbelés et surveillées 24/24 par des gardes logés dans des miradors. L’envers du décor ne nous donne pas vraiment envie de passer la porte d’entrée, qui aurait envie de pénétrer délibérément dans une prison ? Des millions de touristes assurément, à qui on vend la sécurité de leur lieu de villégiature dans un pays où on ne ressent jamais, pourtant, d’insécurité…

Mais nous, avec notre maison sur le dos et libres comme l’air, vous pensez bien que cela ne nous intéresse pas vraiment et, en plus, on n’a pas vraiment le profil du touriste attendu ici. Nous passons donc notre chemin sur un bon nombre de lieux pourtant considérés comme incontournables dans les guides de voyage.

A mi-chemin entre Tulum et Cancun, à Paa Mul, il existe un RV-Park, un de ces campings pour camping-car, qui peut nous accueillir. Les prix sont affichés en dollars US, c’est tout dire. Les RV qui sont déjà là sont installés en réalité depuis fort longtemps. Des Etats-Uniens et des Canadiens y ont élu domicile en construisant tout autour de leur RV, ainsi emprisonné, des murs en parpaings pour donner naissance à d’immenses villas de vacances semi-ouvertes. Voici à quoi ça ressemble :

Si, si, on vous l’assure, il y a encore, une caravane, un camping-car ou un mobilhome à l’intérieur !

Il reste encore quelques places pour les camping-cars de passage comme nous. Nous nous y installons pour 3 jours moyennant une coquette somme – mais c’est la Riviera maya – car il paraît, si on en croit le guide du routard, que la plage vaut vraiment le détour. Pour le prix, nous n’aurons quand même pas la vue sur la mer, faut pas rêver, on ne va pas mettre notre roulotte en première ligne !

Et, nous ne serons pas déçus. La plage est idyllique, l’eau est cristalline et les poissons sont au rendez-vous à quelques mètres du bord.

Une barrière naturelle ferme la baie où se cassent les vagues, ce qui rend la baignade fort agréable dans une mer très calme.

Pour ne rien gâcher, une piscine à débordement et le bar-restaurant ont vue sur mer.

Enfin, nous entamons ces jours-ci, la deuxième moitié de notre voyage. Il nous reste 5 mois et demi avant notre retour prévu le 13 juillet 2018 et nous ne sommes qu’au Mexique.

Comme il nous reste à peu près autant de kilomètres à partir du point où nous nous trouvons aujourd’hui pour retourner à Halifax où le camping-car doit prendre le bateau, que ce que nous avons déjà parcouru, la décision de ne pas traverser d’autres pays a été prise. Nous laissons donc de côté tous les « petits » pays d’Amérique centrale, ce sera pour un autre voyage… Nous préférons profiter un peu plus de ce temps qui passe si vite, plutôt que de courir – ou rouler – après lui.

Adios Yucatan

La parenthèse Paamul a réellement été fabuleuse et nous a donné l’impression d’être vraiment en vacances. N’ayant pas la possibilité technique et le temps matériel de monter les vidéos faites sous l’eau, je vous mets quand même en ligne quelques photos réalisées avec notre caméra étanche au cours de nos nombreuses plongées. Elles vous permettront de voir un petit peu ce qui nous a tant plu.

Mais nous devons reprendre la route et nous filons plein sud pour retourner sur Bacalar.

En route, nous faisons une halte à Akumal, une plage qui accueille des tortues toute l’année. Hélas elle attire aussi une nuée de touristes (étrangers et mexicains) qui, en ce lundi férié, profite du beau temps pour faire un plongeon avec ses jolies petites bêtes. Impossible pour nous de se garer et donc on poursuit notre route. Tant pis !

Arrivés à Bacalar, nous nous rendons au même balneario qu’à notre précédente venue. Là aussi, le lundi férié a rempli le parking, un carnaval semble prévu sur toute la semaine avec son concert nocturne. Déjà que les nuits avaient été compliquées à notre premier passage, nous ne tentons pas l’aventure et continuons vers le sud. Il va bien falloir trouver un spot pour la nuit…

Finalement, nous nous garons à Calderitas, tout près de la frontière bélizienne. Il fait malheureusement très chaud et les moustiques sont de nouveau de la partie. Nous ne resterons pas longtemps et continuerons notre route.

Les derniers sites du Yucatan sur la ruta Bec

Nous traversons la péninsule du Yucatan d’est en ouest en prenant la ruta Bec où nous visitons deux petits sites bien différents de ceux que nous avons déjà vus.

Becan et Chicana sont de magnifiques exemples du style Rio Bec typique de cette région. Les structures et pyramides sont disséminées en pleine forêt et font apparaître des motifs liés au culte du serpent. Une bien jolie visite.

Malheureusement, une fois de plus, nous ne pouvons pas rester sur place pour la nuit et nous voilà repartis pour deux heures de route avant de nous arrêter sur un spot un peu rustique en pleine forêt, entourés de nos meilleurs amis du moment, les mosquitoes. Sales bêtes !!!

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4 commentaires sur “Les trésors du Yucatan en camping-car”

  1. Bonjour, A la lecture de votre compte-rendu, il semblerait qu’il ne soit pas si évident de passer des nuits en se parquant simplement par-ci par-là. Avez-vous plus de détails à nous donner? COnseils, pièges à éviter… En vous remerciant

    1. Tout à fait, ce n’est pas si simple au Mexique.
      Déjà, il faut savoir que le ministère des Affaires étrangères déconseille formellement le camping sauvage au Mexique. Etant donné que certaines zones ont un fort taux de criminalité, nous sommes restés prudents et avons toujours recherché des structures pour nous accueillir. Il n’y a pas vraiment de campings, mais plutôt des RV-parks comme aux USA ou alors, on trouve souvent des adresses au niveau des hotels, parfois des restos. De toute façon, il n’existe aucune aire de services pour faire le plein d’eau et vidanger en dehors de ces structures, vous serez donc contraints de passer par là. L’avantage, c’est que ces adresses ne coutent pas très cher et que vous pouvez passer la nuit tranquille. Il nous est arrivé de demander aux locaux si on pouvait rester à certains endroits pour la nuit en sauvage, cela nous a été la plupart du temps déconseillé.
      Les stations PEMEX peuvent vous accueillir, mais vous partagez le parking avec les poids lourds qui vont et viennent toute la nuit dans les vapeurs de carburant. Nous avons fui cette solution très utilisée par de nombreux voyageurs. Nous n’y avons eu recours que lorsque nous n’avons vraiment pas eu d’autre choix. De même, comme nous ne voyons pas l’intérêt d’être garés en bord de route pour passer la nuit, nous avons laissé de côté des spots que certains trouveraient « paradisiaques ».
      L’application phare pour trouver les adresses au Mexique est iOverlander. A notre connaissance, il n’existe pour l’instant aucun autre support.

    1. Coucou Caroline ! Oui, le Mexique on a adoré ! Le Yucatan est splendide, mais tout le Mexique est à voir et réserve de belles surprises.

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