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Acheter un camping-car en salon : guide de survie en 6 points

Bien préparer son achat de camping-car en salon : 6 points de vigilance

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Acheter son camping-car en salon, une bonne idée ? Certains ne trouvent que des avantages à ces grands événements, heureux d’y avoir fait une bonne affaire. D’autres crient à l’arnaque. Qui a raison et qui a tort ? Comment démêler le vrai du faux ? Un client averti en vaut deux. Pas certain que cela plaise au vendeur qui risque devoir négocier ferme. Pour vous, futur camping-cariste, voici une liste en 6 points pour organiser une visite sereine et conclure une éventuelle acquisition du véhicule de loisir de vos rêves en toute connaissance de cause.

Notre propre expérience de ce genre d’événements se limite à trois salons de camping-cars, dont un achat. Si notre histoire en la matière ne vous intéresse pas, passez directement au point 1 à la liste.

1re expérience : salon VDL du Bourget. Quitte à sortir, autant se rendre à la plus grande exposition de France dans le domaine. Âgés d’à peine 20 ans, les poches garnies de nos premiers vrais salaires et des rêves plein la tête, on est repartis dégoûtés, écrasés par la masse : quantité de véhicules sur le marché et tarifs ! Cette première expérience sans aucun plan d’action a été difficile à digérer, d’où notre premier conseil : préparez votre visite.

2e expérience : un salon de véhicules d’occasion à Bordeaux 15 ans plus tard. Là encore, trop de « camions », trop chers, toujours. On sait un peu mieux ce que l’on cherche. 15 ans pour affiner ses choix, ça va, on prend notre temps ?. Heureusement qu’un vendeur était trop occupé pour répondre à nos questions, parce que l’on aurait peut-être cédé pour un camping-car qui correspondait à nos besoins, mais beaucoup, beaucoup, beaucoup trop cher. Bonjour surendettement.

3e expérience : Conforexpo à Bordeaux. Grande foire internationale. On ne veut pas y aller, on connaît déjà tous les véhicules d’occasion de la région. Hasard, on tombe sur une publicité qui annonce l’entrée gratuite pour la nocturne du jeudi soir. Banco, on y va. On évite les allées éclairées et on file directement sur le parking dédié aux secondes mains. « Pas besoin des concessionnaires qui vendraient père et mère à l’intérieur », voilà notre état d’esprit du moment. C’est au mois de novembre, il fait nuit noire, il pleut et elle est là qui nous attend. 1 coup d’œil, un regard entre nous et l’affaire est conclue. 7 ans plus tard, cette capucine ne nous apporte que du bonheur. Et quelques pépins aussi ! Mais bon, on l’aime, que voulez-vous…

Chateau de Biron - Dordogne
Notre capucine garée à Biron (sud Dordogne)

Allez, c’est parti. Voici nos 6 conseils, astuces, points qui méritent une attention particulière avant de craquer pour le véhicule aménagé qui vous fera passer des moments inoubliables en pleine nature.

1. Préparer la visite du salon

Préparer sa visite d’un salon, ça veut dire quoi ?

  1. Avoir au moins une vague idée du type de véhicule qui vous conviendrait.
  2. Lire quelques infos au préalable sur l’utilisation et le fonctionnement d’un camping-car. Ce n’est pas là que le concessionnaire va vous expliquer qu’il faut vider les eaux noires (appellation classe de la « boite à caca ») tous les 2 ou 3 jours. Il vend du rêve je vous rappelle… Ceci afin de pouvoir discuter, choisir, éventuellement négocier.
  3. Repérer les marques présentes et l’emplacement de leur stand dans le parc d’exposition, définissez un ordre de priorité (non, vous ne pourrez pas tout voir).
  4. Connaître votre capacité de financement

Bien sûr, votre niveau de préparation dépendra de votre objectif. Il y a plusieurs raisons qui poussent les gens à se rendre dans les salons du camping-car :

  • la curiosité : voir ce qu’il se fait dans le domaine, quels sont les nouveaux modèles, vous donner une idée des prix pratiqués ;
  • l’efficacité : de nombreuses marques réunies dans un même lieu à une date précise, pas besoin de faire le tour des concessions de votre région et possibilité d’admirer des gammes peu représentées près de chez vous (véhicules aventure, poids lourds, camping-car de luxe, etc.) ;
  • la volonté d’acquérir son CC dans le but de profiter d’éventuels tarifs attractifs lors de l’événement.

Si vous n’avez aucune idée de ce que vous voulez voir ou un ordre de prix qui correspond à votre capacité de financement, vous serez noyé par la masse. Au bout d’une heure, c’est l’overdose. Le risque est de repartir en vous disant que ce n’est pas pour vous. Vous aurez mis votre petite flamme sous cloche, c’est dommage.

Acheter un camping-car en salon : notre guide de survie
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2. Noter : garder le plus intéressant et éliminer le reste

À moins que vous soyez hyper organisé et peu enclin à céder à la tentation, vous avez besoin de noter ! Au bout d’une heure et demie, vous serez déjà entré dans 8 à 10 véhicules et vous ne saurez plus comment étaient les premiers ou pourquoi le 3e était celui que vous préfériez… à moins que ce soit le 4e ? Vous revenez en arrière et ne le retrouvez plus. Bref, c’est n’importe quoi !

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Il vous faut absolument un carnet et un stylo pour :

  • cocher ce que vous aviez prévu de faire sur votre liste, histoire de ne rien oublier (au tarif de l’entrée en salon, ce serait dommage…) ;
  • éliminer ce qui ne vous a pas plu, ce qui finalement ne vous correspond pas (et préciser pourquoi) ;
  • écrire les noms des modèles qui ont votre préférence, des agents commerciaux avec qui vous avez eu les meilleurs contacts ;
  • relever les prix (au bout de 4e, on ne s’en rappelle plus. Si, si, je vous assure, beaucoup trop de sollicitations dans un événement de ce genre) ;
  • conserver une trace des offres des concessionnaires qui vous paraissent intéressantes dans le cadre du salon ;
  • garder en mémoire les résultats d’une négociation avec un vendeur et pouvoir le mettre sous les yeux de son concurrent ?

Lorsque vous aurez fini le tour prévu, et certainement un peu plus, arrêtez-vous un moment, allez boire un café (hors de prix) et discutez à tête reposée. Pesez les pour et les contre, complétez votre visite, faites vos choix en vous basant sur vos notes.

3. Vérifier à qui on a affaire sur le stand

Vous êtes plus qu’un simple curieux, et vous avez trouvé le modèle qui vous correspond. Avant d’acheter en neuf ou occasion, il est important de savoir à quelle concession appartient l’attaché commercial disponible sur le stand.

En effet, votre véhicule vous sera livré dans la concession où vous l’avez acquis. Si le vendeur vient de Strasbourg et que vous habitez à Toulouse, vous devrez faire le trajet pour prendre possession de votre camping-car jusqu’en Alsace, mais aussi :

  • pour faire l’installation des accessoires négociés lors de la vente (si jamais ils avaient oublié. Hum, hum, non ça n’arrive jamais…)
  • faire marcher la garantie en cas de problème sur le véhicule ou un de ses accessoires, ce qui n’arrive qu’aux autres bien entendu, mais à 100 % des camping-caristes. Si vous n’avez jamais eu à retourner à la concession pour faire jouer la garantie de votre véhicule aménagé neuf ou d’occasion, s’il vous plait, dites-le-nous en commentaire !

Ces allers-retours jusqu’à la concession peuvent vite représenter de grosses sommes d’argent si elle est très éloignée de votre domicile. Sans compter la période d’indisponibilité plus longue si vous rentrez chez vous le temps de la réparation, et les trajets à n’en plus finir. Épuisant moralement, physiquement et financièrement.

« Bien choisir sa concession » : c’est la première remarque qui a été faite par nos abonnés email. C’est dire l’importance de ce critère avant de passer à la caisse.

4. Négocier le prix d’un camping-car : comment obtenir la meilleure offre ?

Vous avez fait votre choix ou hésitez encore entre plusieurs modèles. Il est temps de passer à la phase de négociation. Mais peut-on réellement faire de bonnes affaires lors d’un salon ?

Ce qu’il faut savoir, c’est que la location de l’emplacement est à un tarif très élevé pour les exposants. Les concessions qui investissent doivent rentrer dans leurs frais et rentabiliser le coût du déplacement, ainsi que le temps consacré à l’événement. Leur leitmotiv est donc de vendre et de remplir leur carnet de commandes aussi loin que possible. Est-ce que cela signifie que vous pouvez tirer sur les prix ? Après tout, si les exposants veulent gagner de l’argent, il va falloir qu’ils fassent des efforts…

Eh bien, oui et non.

Oui, évidemment tout se négocie. Mais n’oubliez pas que le salon coûte les yeux de la tête à votre interlocuteur. Donc il sera disposé à vous écouter, à vous faire des cadeaux pour les accessoires, mais nettement moins sur le prix du véhicule, d’autant plus s’il est neuf. En occasion, comme pour les voitures, il y a davantage moyen d’obtenir une ristourne tarifaire. Mais cela va dépendre énormément de la marque et du modèle. Plus facile de décrocher une réduction sur un CC peu coté qui encombre le parking de votre interlocuteur que sur un modèle prisé.

Qui ne tente rien n’a rien. Vous pouvez toujours demander un rabais et voir ce qu’il se passe. Cependant, la discussion sur l’offre d’accessoires aura beaucoup plus de chances d’aboutir. N’oubliez pas que le coût de ces ajouts à faire à votre camping-car est nettement moins élevé pour le professionnel que le particulier. Aussi, votre vendeur sera-t-il plus enclin à céder à ce niveau. Et vous, vous ferez tout de même de belles économies.

Vous pouvez tout négocier ! Pensez aux accessoires suivants :

  • store
  • TV avec ou sans antenne
  • porte-vélos
  • 2de batterie pour la cellule de vie
  • batterie lithium
  • fourniture et pose d’un panneau solaire
  • installation d’un système Duo Motion pour le gaz
  • alarme
  • convertisseur
  • cales, tuyau pour le remplissage de l’eau, rallonge électrique, tapis, etc.

Dites-nous en commentaire quels accessoires vous avez réussi à négocier !

Quant à savoir s’il vaut mieux venir en début ou fin de salon, difficile de dire. Certainement qu’il est plus fructueux de négocier en fin d’événement avec un exposant qui ne serait pas encore rentré dans ses frais. Mais si jamais le véhicule de vos rêves se trouve sur un stand qui a déjà signé beaucoup de bons de commande, alors il y a fort à parier que le vendeur soit moins complaisant…

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C’est aussi une affaire de chance cette histoire ?

Acheter un camping-car en salon : une bonne idée ?
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5. Rester vigilant : absence de droit de rétractation pour l’achat en salon

Vous aviez tout bien préparé, vous avez choisi votre véhicule. Vous le récupérerez pas loin de chez vous et, en plus, vous avez pu négocier quelques cadeaux, tout se passe pour le mieux.

Parfait.

Il est toutefois important de savoir que la signature d’un bon de commande sur un salon est ferme. En effet, vous ne pouvez pas bénéficier d’un droit de rétractation, à part si vous empruntez pour financer votre véhicule de loisir et que le crédit qui devait y être affecté vous est refusé.

La commande d’un camping-car lors d’un salon vous engage. Même si la livraison n’est prévue que dans 1 an, même si votre état de santé se dégrade entre temps et ne vous permet plus de prendre possession de votre achat (ce qui arrive malheureusement). Le droit de rétraction ne s’applique pas, mais vous devez en être informé. La loi relative à la consommation du 17 mars 2014 oblige le vendeur à indiquer clairement par écrit la non-application du droit de rétractation.

Si vous faites un prêt pour financer votre acquisition, cela doit également être inscrit sur le bon de commande afin de vous protéger si jamais il était refusé.

C’est aussi pour cette raison qu’il est important d’être bien préparé avant votre achat en salon. On est souvent fébrile à la double idée de :

  • dépenser beaucoup d’argent ;
  • réaliser enfin un de ses rêves.

Du coup, on peut être tenté de signer trop vite, puis regretter ensuite. Mais ce sera trop tard, à moins de pouvoir prouver que vous avez été victime de techniques de vente malhonnêtes ou d’intimidation, affaire qui promet être difficile.

6. Se méfier des taux de crédit et des assurances/garanties complémentaires

Pour faciliter l’achat en salon et/ou lever toutes les réticences, les vendeurs de camping-cars vont vous proposer un emprunt qui, évidemment, aura des conditions extraordinaires. Alors méfiez-vous ! Très très souvent, ces crédits ont des taux plus importants que ce que vous offrirait votre propre banque. D’où l’intérêt d’avoir bien préparé votre visite. Vous connaissez votre capacité de financement, et vous avez même fait des simulations d’emprunt, ce qui vous permet de comparer l’offre de votre banque avec ce que l’on vous propose lors de l’événement.

De plus, ces crédits sont associés à des extensions de garantie et/ou des assurances complémentaires. C’est destiné à vous rassurer, mais le tarif est donc plus élevé que lors d’un emprunt simple à la banque, pour une utilité qui reste à prouver. D’autant plus que certains de ces compléments seront peut-être inclus dans votre police d’assurance.

Alors si des stands appâtent le client avec des conditions de crédits exceptionnelles, il convient de bien lire les lignes en petit caractère au dos du contrat. Il se peut toutefois que vous tombiez sur une proposition avantageuse dans votre situation. Vous ne le saurez que si vous avez préparé votre visite d’abord avec votre banquier et même votre assureur (garantie panne mécanique pendant 5 ans par exemple).

Acheter un camping-car en salon : 6 points de vigilance et conseils

Acheter un camping-car en salon, une bonne idée ?

Alors, est-ce vraiment au prochain salon du camping-car que vous devez craquer pour le véhicule de vos rêves ? Celui du Bourget ? ou celui de votre région ?

Eh bien, pas de réponse tranchée.

Pour sortir votre épingle du jeu, vous l’avez compris, mieux vaut avoir bien préparé sa visite. Vous serez serein parce que vous aurez su quelles questions poser, et vous aurez reçu les réponses que vous attendiez.

Pour acheter, les salons du camping-car s’adressent à un public averti.

Rien n’empêche d’y aller en balade pour satisfaire votre curiosité, mais ne soyez pas déçu du peu d’attention que l’on vous accorde dans ce cas. Les exposants sont là pour vendre et amortir le coût de leur déplacement, pas vraiment pour renseigner les plus novices dans le domaine. Sachez toutefois qu’ils ont plus de temps en journée et en semaine, lorsque la fréquentation du parc d’exposition est au plus bas.

Après, l’achat est une affaire de compromis, de confiance, de coup de cœur avec le véhicule. Je dirais que quand c’est le bon, on le sait ! En tout cas, nous n’avons jamais regretté notre choix. L’aurait-on payé moins cher en concession qu’en salon ? Nul ne peut le savoir.

Cet article a été rédigé sur la base de notre propre expérience, mais aussi sur celle d’une partie de nos abonnés. Si vous pensez à d’autres éléments qui devraient figurer ici pour donner une information encore plus complète aux nouveaux acquéreurs de camping-car, ajoutez-les en commentaire ! Merci à vous.


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8 commentaires sur “Bien préparer son achat de camping-car en salon : 6 points de vigilance”

  1. NOËLLE JOUANOLOU

    Avec mon mari nous aimons beaucoup faire les salons et nous sommes alles plusieurs fois au Bourget. Pour moi les salons nous permettent de voir tout ce qui se fait comme modèles et nous donnent des idées pour faire des ameliorations sur le notre. Nous avons acheté notre premier camping-car d occasion à un particulier et les 2 autres neufs. Nous les avons acheté chez un concessionnaire de proximite pour la facilite de récupération et pour la garantie. Nous n avons jamais trop eu besoin du commercial car nous savions exactement ce que nous voulions ou pas ! Je vous avoue que je n ai pas confiance aux commerciaux. Pour finir j ai réussi à avoir les mêmes cadeaux d options que sur un salon ! porté velo antenne store panneau solaire TV antenne. Nous avons mis au moins 3 ans pour choisir nos 2 modèles neufs c était donc très reflechi pas sur un coup de tête ! Nous n achetons pas une baguette de pain ! Ne vous precipitez pas ! et nous n avons jamais regrette nos achats. Les salons nous ont juste servi à faire nos choix et à nous conforter sur ceux ci une fois l achat réalise. Nous avons toujours acheté sur un coup de cœur !

    1. Bonjour Noëlle,
      Merci beaucoup pour ce retour d’expérience ! Je suis certains qu’il sera très utile pour les futurs acquéreurs 🙂

  2. Les capucine semblent délaissées par les constructeur est une mauvaise nouvelle? Est un véhicule plus fonctionnel pour ce déplacer de par la longueur .
    Le hauteur est elle un handicap sur la route?
    Votre avis
    Merci
    Joël

    1. Bonjour Joël,

      Effectivement, les capucines sont délaissées et ce n’est pas nouveau. Lorsque l’on cherchait notre camping-car en 2014, on voulait justement une capucine, modèle familial par excellence.On a eu du mal à en trouver, même sur le marché de l’occasion. Mais il avait la nôtre, donc on n’en demandait pas plus !

      Alors la hauteur est-elle un handicap ? Je dirais « un peu », mais on fait avec :

      – davantage de prise au vent qu’un profilé ou intégral : parfois ça tangue sur la route s’il y a beaucoup de vent et consommation plus importante –> on adapte notre vitesse et on est entre 11 et 12 l pour 100 km

      – hauteur supérieure à 3 m : on passe en catégorie 3 au péage, c’est très cher –> on ne prend jamais l’autoroute (attention, l’astuce que l’on lit partout comme quoi il faut sonner au péage pour leur demander de passer en catégorie 2 ne fonctionne plus sur de nombreuses portions) ou très peu

      À part ces 2 points, je ne vois pas d’autres soucis. Hauteur profilé ou capucine, on ne passe de toute façon pas sous les barres de limitation de hauteur dans les parkings.

      La longueur est effectivement un critère à prendre en compte. Plus le véhicule est court, plus c’est facile de trouver une place sur les parkings. Aujourd’hui, même les longs camping-cars se manœuvrent bien à ce qu’en disent les utilisateurs (nous n’avons jamais conduit de CC supérieur à 6,65 m), mais la longueur peut effectivement gêner au moment où il faut tourner dans des endroits étroits. Peut-être pouvez-vous essayer la conduite de ce type de véhicule chez un concessionnaire ?

      J’espère vous avoir donné quelques éléments qui vous aideront dans votre choix. Bonne journée !

  3. Nathalie Charre

    Article qui résume bien les pièges à éviter.
    Nous nous sommes laissés tenter mais avons finalement réussi à déjouer les pièges du financement par le concessionnaire.Tout est bien qui fini bien et nous sommes contents de notre véhicule depuis bientôt 5ans.

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